C'est décidée et pleine d'entrain que mon humaine de compagnie s'est dirigée hier soir après son travail vers le bois de Vincennes, dans le but de récupérer un lapin errant signalé quelques temps plus tôt.
Il suffit d'un repérage rapide pour constater le premier problème du jour : c'est grand. Très grand.
Qu'à cela ne tienne, ne pas se laisser démonter.
Deux heures plus tard, il a bien fallu se rendre à l'évidence : pas l'ombre d'un pet de lapin.
Damned.
En revanche, les boulets, on les trouve même quand on ne les cherche pas.
"Bonjour, ça va ?"
"... Oui ça va."
"On fait connaissance ?"
J'imagine Maman, le nez dans les broussailles. "Pas vraiment, je suis occupée là."
C'est assez drôle.
Au final, c'est pitoyable pour un premier sauvetage. Résultat zéro. Maman pensait que le plus dur était d'attraper le lapin, pas de le trouver. Il faut croire que c'est plutôt le contraire.
Peut-être si on a le temps un jour, on récidivera. Sans grande conviction.
You loose. Peut être plus de chance la prochaine fois. J’espère bien entendu que ce petit lapin va bien. Il est peut être devenu copain avec ton boulet en manque d'amitié!
RépondreSupprimerEn tout cas ça m'a fait bien rire de t'imaginer dans les buissons à chercher un lapin.
Je compatis ma pauvre.. Quand la voisine m'avait alerté pour Cracoye, lapin abandonné sur le parking de notre quartier, j'étais incapable de trouver la moindre trace de lui, pourtant j'étais montée de suite...
RépondreSupprimerC'est finalement d'autres voisins qui avaient des lapins dans leur jardin qui ont pu le chopper et me le ramener.. C'est pas évident du tout !..
Pauvre petit museau. La nuit en forêt doit être effrayante..
Et pour le boulet.... Moi qui pensais qu'on ne pouvait avoir ce genre de conversation que sur les chats... xD